En 2010
se forme ROAD DOGS, une meute de
voyageurs en partance pour les royaumes inconnus.
Axés sur l’ailleurs, leur recherche de nouvelles
lignes de fuite les conduit à choisir le train de marchandise
comme moyen de transport privilégié.
Le réseau de Fret européen est ici décalé de sa fonction
première, devenant un générateur d’aventures :
le principe est ici de s’ égarrer et d’habiter le trajet
plutôt que de se rendre quelquepart.
Lors de leurs dillutions dans les No Mans Lands
ils bivouaquent dans les dépots de trains,
construisent des campements éphèmères et honorent
leur route d’une constellation de monikers.
Ils réactivent alors la pratique centenaire
de hobos nord-américains, la réinterpretant via
leur background graffiti et le contexte contemporain
afin d’inventer leurs propres codes tactiques,
éthiques et esthétiques.
Ils diffusent leurs rapports d’opérations sous
forme de vidéos, d’éditions et d’expositions montrant
dessins, sculptures et installations.
Faire
parler de leurs actions a pour but de semer des
graines libertaires et d’encourager d’autres à ouvrir
de nouveaux terrains de jeux sur la carte.
/
In 2010 ROAD DOGS, a pack of travelers leaving
for the unknown kingdoms, is formed.
Focused on other countries, their search for new
escape routes led them to choose freight trains as
their preferred means of transport.
The European Freight network is here shifted from
its original function, becoming a generator of adventures:
the principle here is to get lost and live
the journey rather than go somewhere else.
During their dilutions in the No Mans Lands they
bivouac in the train depots, build temporary shellters,
and honor their route with a constellation of
monikers. They then reactivate the century-old
practice of North American hobos, reinterpreting
it through their graffiti background and contemporary
context to invent their own tactical, ethical
and aesthetic codes.
They distribute their operation reports in the
form of videos, editions and exhibitions showing
drawings, sculptures and installations. Getting
people to talk about their actions is intended to
sow libertarian seeds and encourage others to
open new playgrounds on the map.
En 2010
se forme ROAD DOGS, une meute de
voyageurs en partance pour les royaumes inconnus.
Axés sur l’ailleurs, leur recherche de nouvelles
lignes de fuite les conduit à choisir le train de marchandise
comme moyen de transport privilégié.
Le réseau de Fret européen est ici décalé de sa fonction
première, devenant un générateur d’aventures :
le principe est ici de s’ égarrer et d’habiter le trajet
plutôt que de se rendre quelquepart.
Lors de leurs dillutions dans les No Mans Lands
ils bivouaquent dans les dépots de trains,
construisent des campements éphèmères et honorent
leur route d’une constellation de monikers.
Ils réactivent alors la pratique centenaire
de hobos nord-américains, la réinterpretant via
leur background graffiti et le contexte contemporain
afin d’inventer leurs propres codes tactiques,
éthiques et esthétiques.
Ils diffusent leurs rapports d’opérations sous
forme de vidéos, d’éditions et d’expositions montrant
dessins, sculptures et installations.
Faire parler de leurs actions a pour but de semer des
graines libertaires et d’encourager d’autres à ouvrir
de nouveaux terrains de jeux sur la carte.
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In 2010 ROAD DOGS, a pack of travelers leaving
for the unknown kingdoms, is formed.
Focused on other countries, their search for new
escape routes led them to choose freight trains as
their preferred means of transport.
The European Freight network is here shifted from
its original function, becoming a generator of adventures:
the principle here is to get lost and live
the journey rather than go somewhere else.
During their dilutions in the No Mans Lands they
bivouac in the train depots, build temporary shellters,
and honor their route with a constellation of
monikers. They then reactivate the century-old
practice of North American hobos, reinterpreting
it through their graffiti background and contemporary
context to invent their own tactical, ethical
and aesthetic codes.
They distribute their operation reports in the
form of videos, editions and exhibitions showing
drawings, sculptures and installations. Getting
people to talk about their actions is intended to
sow libertarian seeds and encourage others to
open new playgrounds on the map.
voyageurs en partance pour les royaumes inconnus.
Axés sur l’ailleurs, leur recherche de nouvelles
lignes de fuite les conduit à choisir le train de marchandise
comme moyen de transport privilégié.
Le réseau de Fret européen est ici décalé de sa fonction
première, devenant un générateur d’aventures :
le principe est ici de s’ égarrer et d’habiter le trajet
plutôt que de se rendre quelquepart.
Lors de leurs dillutions dans les No Mans Lands
ils bivouaquent dans les dépots de trains,
construisent des campements éphèmères et honorent
leur route d’une constellation de monikers.
Ils réactivent alors la pratique centenaire
de hobos nord-américains, la réinterpretant via
leur background graffiti et le contexte contemporain
afin d’inventer leurs propres codes tactiques,
éthiques et esthétiques.
Ils diffusent leurs rapports d’opérations sous
forme de vidéos, d’éditions et d’expositions montrant
dessins, sculptures et installations.
Faire parler de leurs actions a pour but de semer des
graines libertaires et d’encourager d’autres à ouvrir
de nouveaux terrains de jeux sur la carte.
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In 2010 ROAD DOGS, a pack of travelers leaving
for the unknown kingdoms, is formed.
Focused on other countries, their search for new
escape routes led them to choose freight trains as
their preferred means of transport.
The European Freight network is here shifted from
its original function, becoming a generator of adventures:
the principle here is to get lost and live
the journey rather than go somewhere else.
During their dilutions in the No Mans Lands they
bivouac in the train depots, build temporary shellters,
and honor their route with a constellation of
monikers. They then reactivate the century-old
practice of North American hobos, reinterpreting
it through their graffiti background and contemporary
context to invent their own tactical, ethical
and aesthetic codes.
They distribute their operation reports in the
form of videos, editions and exhibitions showing
drawings, sculptures and installations. Getting
people to talk about their actions is intended to
sow libertarian seeds and encourage others to
open new playgrounds on the map.